ARCHITECTURES
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ARCHITECTURES
New York
A 4TH JULY IN NEW YORK CITY
Série d’images sur les buildings, ligne verticales et angles droits qui dessinent New York, qui nous guident en nous imposant leur architecture masculine, droite et parfois orgueilleuse. C’est après plusieurs voyages à New York que ce 4 july j’ai pu profiter de la ville quasiment pour moi. Ainsi j’ai pu explorer ces verticales, ces croix, ces croisements. Cette série est le fruit d’un travail, d’une quête sur le côté phallique de l’architecture
NEW YORK – 4TH JULY
Dressé, droit jusqu’au nuage, l’architecture peut se révéler comme un fantasme, comme une érection de l’orgueil masculin. De New York à ailleurs, des buildings s’érigent face à nous, nous dominant, nous imposant cette image phallique et obsessionnelle. Des photos de New York il en existe plein, j’ai essayé à mon tour de donner une autre vision, plus architecturale. En évitant la population, les touristes, les voitures le plus possible. Observer la ville vidée de son trafic quotidien.
Je suis allé plusieurs fois à New York, à différente saisons, à des âges différents, mais mes images sont toujours verticales et ont beaucoup de points communs aux fils des ans. New York change, se modifie, la taille des buildings augmente, la course reprend, donnant souvent aux mâles l’occasion d’affirmer leur territoire. Cette ville a toujours été pour moi, la définition du mot ville. Alors j’essaie dans mes photos de mettre en exergue cette architecture masculine débridée.
Ce travail sur New York 4 July s’inclue dans une série plus large, plus vaste qui se nomme « Archiréction* » Ces tirages de New York ont fait l’objet d’une première exposition à Villard de Lans France.
Aucun trucage ou utilisation de Photoshop Ce ne sont que des jeux de tirages
Architecture Urbaine
Dressé, droit jusqu’au nuage, l’architecture peut se révéler comme un fantasme, comme une érection de l’orgueil masculin. De New York à ailleurs, des buildings s’érigent face à nous, nous dominant, nous imposant cette image phallique et obsessionnelle.